Pendant
trois semaines, du lundi au vendredi, nous nous rendions sur le
chantier. Il se trouvait à 15 minutes à pied de notre logement.
Durant le
premier jour de chantier, Innasi nous a présenté à tous les bénéficiaires,
en décrivant leur situation, le nombre d’enfants et le métier du père s’il en
avait un.
C’était le début de l'aventure !
Quoique...assez perturbant : nous n’avions aucune idée de ce qu’il fallait faire ! Nous ne comprenions pas ce qu’ils nous disaient car ils parlaient Tamul, et la majorité ne connaissait pas un mot d’anglais. C’est là que je me suis rendu compte de l’importance de la langue pour communiquer. C’était assez frustrant car nous avions l’impression de plus les encombrer que de les aider.
Quoique...assez perturbant : nous n’avions aucune idée de ce qu’il fallait faire ! Nous ne comprenions pas ce qu’ils nous disaient car ils parlaient Tamul, et la majorité ne connaissait pas un mot d’anglais. C’est là que je me suis rendu compte de l’importance de la langue pour communiquer. C’était assez frustrant car nous avions l’impression de plus les encombrer que de les aider.
Puis au fur et à mesure que
les jours se sont enchaînés, nous avons appris à échanger avec les ouvriers.
Nous avons commencé à savoir ce qu’il fallait faire en les regardant travailler, à apprendre les techniques et à
traduire les mots récurrents.
Notre rôle consistait à aider les ouvriers indiens. Ces derniers nous attribuaient des tâches diverses et variées: faire du ciment, tamiser du sable, peindre, porter, faire une façade, poser des tuiles...
Notre rôle consistait à aider les ouvriers indiens. Ces derniers nous attribuaient des tâches diverses et variées: faire du ciment, tamiser du sable, peindre, porter, faire une façade, poser des tuiles...
Vidéo prise sur le chantier :
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